Comme promis, voici un bilan de mon expérience à Liverpool ! L'expérience en général a été vraiment bénéfique pour moi. Néanmoins, je préfère être objective et faire un bilan assez détaillé de cette année 2011-2012. Merci d'avance aux courageux qui liront tout et à ceux qui se sentiront un peu coupables de ne pas en avoir eu le courage ;)
___________________________________
Travail = →
- Première école: élèves de 12 et 14 ans // Conversation par petits groupes pendant 5 à 10 mn
Mon travail en général a été pour moi très bénéfique: en premier lieu, j'ai une meilleure confiance en moi et j'ai pu acquérir (je l'espère) une certaine prestance face à 30 visages curieux. Au début, rien de plus impressionnant, puisque que je devais presque toujours m'exprimer en anglais et que j'ai été jetée dans les arènes dès mon premier jour, même si cette "confrontation" n'a duré que quelques minutes et que l'on m'a donné peu de tâches dans les premiers temps. Mais voilà, ne pas succomber au stress et à la timidité le tout premier jour est en réalité plus facile en théorie, quand on y pense et qu'on se dit que ça ne peut pas être très difficile. Après, petit à petit, on est capable de plus.
Je suis tombée dans trois bonnes écoles, et je n'ai jamais eu aucun problème de discipline. Chaque expérience est différente et peut plus ou moins bien se passer, moi je me situais au bon endroit. Bien sûr, il y avait des jours où les élèves faisaient les marioles devant leurs copains pour les faire rire, mais qui n'a jamais fait ça du temps du collège ? Sur le moment, j'étais très agacée mais je ne pouvais rien y faire, à part montrer que je ne rigolais pas du tout et leur demander: "Qu'est-ce qui est si drôle ?" Tout de suite, ça les calmait. En tout cas, moi, ça me calmait au collège ! ^^
Je suis tombée dans trois bonnes écoles, et je n'ai jamais eu aucun problème de discipline. Chaque expérience est différente et peut plus ou moins bien se passer, moi je me situais au bon endroit. Bien sûr, il y avait des jours où les élèves faisaient les marioles devant leurs copains pour les faire rire, mais qui n'a jamais fait ça du temps du collège ? Sur le moment, j'étais très agacée mais je ne pouvais rien y faire, à part montrer que je ne rigolais pas du tout et leur demander: "Qu'est-ce qui est si drôle ?" Tout de suite, ça les calmait. En tout cas, moi, ça me calmait au collège ! ^^
Le problème avec des jeunes anglais, c'est qu'on se retrouve confronté à un problème majeur: ils ne sont pas capables de s'exprimer dans la langue d'arrivée si on ne les pousse pas un peu en leur expliquant largement dans leur langue. Les élèves qui n'avaient pas besoin de ce système se comptaient sur les doigts d'une main. Parfois, j'avais l'impression que mon travail ne servait à rien.
Aussi, j'ai remarqué à quel point leur mémoire était mauvaise, en particulier lorsqu'on révisait des choses qu'ils venaient à peine de voir sur le tableau en classe entière. C'était affligeant, et eux-mêmes multipliaient les "Oh my god! On vient juste de le voir et j'ai aucune idée de la réponse !!". Néanmoins, bien que leur niveau soit à mon avis problématique (si toutefois ils souhaitent continuer la langue), j'ai eu affaire à des élèves sympathiques et assez volontaires.
Aussi, j'ai remarqué à quel point leur mémoire était mauvaise, en particulier lorsqu'on révisait des choses qu'ils venaient à peine de voir sur le tableau en classe entière. C'était affligeant, et eux-mêmes multipliaient les "Oh my god! On vient juste de le voir et j'ai aucune idée de la réponse !!". Néanmoins, bien que leur niveau soit à mon avis problématique (si toutefois ils souhaitent continuer la langue), j'ai eu affaire à des élèves sympathiques et assez volontaires.
- Deuxième et troisième écoles: élèves de 16 et 17 ans (Sixth Form) // Pratique orale et débat sur un support (le plus souvent, article de journal) // Groupes de deux à trois / durée du cours: 1h et +
Bien sûr, avec de jeunes adultes, on pense tout de suite: vont-ils me respecter ? Vont-ils me prendre au sérieux ? Vont-ils remarquer que je n'ai jamais fait ça de ma vie ? Au final, la plupart de mes élèves ont toujours fait des efforts de réflexion sur les documents que je leur proposais, qu'ils les inspirent ou non. Ils m'ont toujours traitée avec respect, et n'ont jamais dénigré mon travail. Lorsqu'ils ne disaient rien, car document trop difficile ou flemme de leur part, je me retrouvais alors dans la peau de mes anciens profs de collège et de lycée qui, pendant des heures, tentaient d'extraire quelque chose de nous à l'aide d'indices en tout genres, jusqu'à ce qu'on finisse par deviner les réponses.
Certains groupes étaient plus endormis que d'autres, moins drôles aussi, ce qui fait qu'on arrivait parfois à rien en une heure. Bien entendu, je ressentais pas mal de culpabilité après coup, d'avoir choisi un document inintéressant ou trop compliqué à cerner. Il y a donc eu des journées où je rentrais chez moi insatisfaite et plutôt gênée.
Vers la fin de l'année scolaire, beaucoup d'élèves ne venaient plus, ce qui m'octroyait des journées entières à ne rien faire, ou encore à me déplacer d'une école à l'autre pour rien.
J'ai malgré tout de très bons souvenirs avec ces élèves, dont certains me posaient parfois des questions sur la culture française en général ou me demandaient la traduction d'un mot ou d'une expression. Cet échange était probablement ce que j'ai le plus apprécié durant mes cours.
De plus, ce travail d'assistante, qui s'apparente bien sûr au travail d'enseignant, m'a permis de mieux m'organiser, mieux m'exprimer (même en français !), et a développé en moi une volonté de convaincre mon "auditoire". Ce sont en outre des qualités importantes, quelle que soit la carrière dans laquelle on se lance par la suite.
J'ai malgré tout de très bons souvenirs avec ces élèves, dont certains me posaient parfois des questions sur la culture française en général ou me demandaient la traduction d'un mot ou d'une expression. Cet échange était probablement ce que j'ai le plus apprécié durant mes cours.
De plus, ce travail d'assistante, qui s'apparente bien sûr au travail d'enseignant, m'a permis de mieux m'organiser, mieux m'exprimer (même en français !), et a développé en moi une volonté de convaincre mon "auditoire". Ce sont en outre des qualités importantes, quelle que soit la carrière dans laquelle on se lance par la suite.
Social = →
Si
les premiers jours étaient prometteurs, je me suis vite rendue compte
que ma vie sociale serait bien moins excitante que ce que j'avais
imaginé en arrivant à Liverpool.
Souvenez-vous,
tout a commencé lors de la réunion des assistants (voir l'article correspondant), une semaine avant le
début du contrat. J'avais rencontré en un jour tout un tas d'espagnols
et de français, mais je me suis vite prise d'affection pour un groupe
d'assistants espagnols qui étaient déjà là l'année dernière et qui se
connaissaient tous. Moi, je suis arrivée dans ce groupe déjà soudé, avec
ma nature réservée, combattant ma timidité pour essayer de m'ouvrir et
de communiquer... J'ai cependant été victime de leur manie de s'exprimer
à 80% en espagnol... Que des gens à la nationalité commune se
parlent dans leur langue natale de temps en temps ne me dérange pas...
Après tout, certaines idées sont plus évidentes à échanger dans le
naturel d'une langue maternelle. Mais que cela dure toute une soirée, en
ma présence, ça, je ne l'ai pas supporté. Non, je n'ai pas supporté ce
manque total de respect et cette impression de faire partie des meubles.
Et c'est malheureusement ce qui est arrivé maintes et maintes fois. Au
final, j'en suis arrivée à ne plus vouloir entendre parler d'eux, et eux
n'ont jamais vraiment cherché à s'excuser et à améliorer la situation. On en revient toujours au même problème:
le confort de ne rester qu'avec les personnes que l'on connait, et des
personnes avec qui on ne parlera pas anglais, par dessus le marché. Quel est alors l'intérêt de se trouver dans un pays étranger ?
Bien
sûr, ces personnes étaient loin d'être des monstres: par exemple, on
m'a à plusieurs reprises hébergée le soir sans hésitation. Je me suis souvent dit qu'il aurait été tellement plus simple que ces personnes soient... françaises.
C'est dur à dire, mais les français, de leur côté, ne sortaient jamais
ou rarement de leur cercle, à l'instar des espagnols. Moi, qui ai quand
même fait l'effort de me diriger vers des étrangers afin de pratiquer
mon anglais, j'ai été "handicapée" et n'ai pu m'insérer ni dans un
groupe, ni dans l'autre. J'ai donc fini par croire que j'aurais du faire
comme tout le monde : m'insérer dans le groupe de ma nationalité, ce qui
aurait rendu certains aspects de la vie quotidienne plus facile.
Heureusement,
les assistants ne se limitaient pas à ces deux groupes: quelques nouvelles
assistantes espagnoles s'étaient aussi liées d'amitié à part, et c'est
finalement vers elles que je me suis tournée, quoique tardivement.
Pourtant, ces personnes étaient là elles aussi à la réunion du début.
Mon souhait aurait été de choisir les bonnes personnes dès le début,
afin d'éviter ces déceptions. En tout cas, je peux les remercier d'avoir
illuminée mes dernières semaines et d'avoir toujours fait l'effort de
parler anglais en ma présence, que j'écoute leur conversation ou non !
Colocation = →
J'ai
passé mes trois premiers mois chez l'habitant. Après une première
semaine où la propriétaire s'était montrée très accueillante, les
rapports ont vite changé, d'un côté à cause de ma timidité, de l'autre à
cause de ma présence sur le "territoire" de cette femme - je sentais
bien que je ne deviendrais jamais son amie. Si au départ ce logement ne
devait être que temporaire, j'y suis restée jusqu'à la veille des
vacances de noël, ce qui a peut-être du peser sur cette propriétaire.
Elle m'avait toujours dit que je pourrais rester le temps de trouver
autre chose, mais il était plutôt clair qu'elle aurait préféré retrouver
son espace vital le plus vite possible. A savoir, cette dame a toujours
procédé par "petits mots dans la cuisine" pour me communiquer les
"mauvaises" nouvelles. Tout cela de façon très British, bien sûr:
"Bonjour Lucinda, j'espère que tu as passé une bonne journée. Je voulais
juste te dire qu'il faudrait que tu utilises dorénavant tes propres
draps et ta propre lessive. Oh, j'ai des œufs dans le frigo, n'hésite
pas à les consommer j'en ai trop. A plus tard". "Chère Lucinda, Je
voulais juste te dire que je te ferai payer des frais supplémentaires du
fait de la venue de ton copain. Oh, je vous conseille d'aller visiter
tel endroit aujourd'hui, c'est très beau. Bonne journée"...
Oui, on aurait presque envie de la remercier,
car elle fait preuve de politesse au début et à la fin de ses messages.
Cela dit, je me suis rendue compte que je n'aimais pas du tout que l'on enjolive les mauvaises
nouvelles à l'aide d'une hypocrisie à la britannique. Encore pire: je
n'aimais pas me lever le matin et trouver une note sur la table de la
cuisine, et dont le contenu aurait pu être exprimé face à face le soir
d'avant !! Rien ne l'empêchait de venir taper à ma porte pour en discuter
avec moi.
Néanmoins,
je n'aurais pu trouver meilleur logement pour mes premiers temps à
Liverpool : la maison était belle et propre, je n'avais qu'à entretenir
ma chambre, et l'emplacement m'a fait découvrir un superbe quartier
(Aigburth, dans le sud). J'avais à proximité le plus grand parc de la
ville (Sefton Park), et je n'étais qu'à deux arrêts de train du centre.
J'ai
également logé avec l'habitant dans ma deuxième maison, de décembre à juin, toujours dans
le même quartier, bien que l'expérience ait été complètement différente :
l'habitant était plus jeune et infiniment plus cool (et même
baba cool) que mon ancienne landlady. En fait, j'avais davantage
l'impression de vivre avec un colocataire, cette fois, et pas le
proprio. L'avantage, c'est qu'on avait quasiment des rapports d'égal à
égal, très amicaux. L'inconvénient, c'est qu'il entretenait autant sa
maison qu'un mauvais coloc ! Pareil du côté du bruit le matin et le soir,
on aurait dit que je n'étais pas là... Parfois, il se mettait même à
chanter sous la douche o_O Néanmoins, je garde un souvenir assez positif
de cette colocation qui aurait pu être bien pire. Plus tard, sa copine
est venue vivre avec lui, et les choses auraient pu être plus
compliquées qu'elles ne l'ont été. Il y a des jours où je me languissais de quitter l'appartement, d'autres où j'appréciais leur compagnie.
C'est simple, je n'ai jamais autant voyagé. Il est évident que je ne parle pas des simples trajets Liverpool - France, mais bien de visites dans tout le Royaume-Uni : Belfast en Irlande du Nord, Édimbourg en Écosse (où j'étais déjà allée auparavant), Conwy au Pays de Galles, et Oxford, Manchester, Birmingham, Windermere et Londres en Angleterre !
Chaque visite était unique et très différente de la précédente : à Belfast et Oxford par exemple, je rendais visite à des amies de l'université. Les visites étaient donc plus complètes et peut-être moins aventurières que les autres. De même, si Windermere représente bien la campagne britannique, Londres ou Birmingham sont tout l'inverse. Ainsi, le paysage de cette année a été pour moi très varié, plein de bonnes découvertes. Tout s'est toujours très bien passé, et je dois dire que j'ai adoré jouer le rôle de touriste, munie de mon super appareil- photo (la quasi-intégralité des photos que vous pourrez voir sur ce blog ont été prises avec un "Nikon Coolpix P300").
Le prix des trains sont abordables si on s'y prend à l'avance, et vous pouvez même vous rendre (comme moi) à Londres en bus. C'est long, très long (presque 6h de Liverpool, aller simple !), mais c'est aussi très bon marché. J'ai même entendu parler d'un trajet à £1 sur megabus.com, bien que je n'y ai jamais eu recours.
Voici les compagnies que j'ai très souvent utilisées :
The Train Line
National Rail
National Express (pour le bus)
Dernière chose, et non la moindre, Liverpool en elle-même ! Si je n'ai pas eu un coup de foudre énorme pour la ville les premiers jours, l'attachement est venu petit à petit pour cette jolie petite ville où l'on ne s'ennuie jamais : les gens sortent tous les soirs, mais noircissent surtout les pubs, restos et boîtes de nuit les vendredis et samedis soirs. J'ai adoré les cathédrales et églises, dont vous entendrez parler sur ce blog, les docks, qui sont un vrai régal lorsqu'il ne pleut pas, voire si vous avez de la chance, s'il fait beau ; les boutiques sont pour moi plus intéressantes qu'en France - je pense avant tout à New Look et Next. Sortir boire un café ou un chocolat chaud à Nero en compagnie de ses amies ou seule était un plaisir que je m'octroyais le plus possible - je mangeais d'ailleurs là bas tous les mardis midis et commandais mon traditionnel panini toasté et "single espresso" :P, et les restaurants ne m'ont presque jamais déçue. J'habitais d'ailleurs près d'une célèbre rue, Lark Lane, presque entièrement composée de restaurants en tout genres. Bien sûr, la plupart n'étaient pas des restaurants anglais mais davantage indiens, japonais ou espagnols ! Le mauvais temps était bien sûr un inconvénient qu'il ne faut pas prendre à la légère puisqu'il encourageait tout le monde à se terrer chez lui - ce que les Liverpudliens ne font pas, sans quoi ils ne sortiraient jamais !
Bref, une ville où il fait bon vivre et travailler, sans aucun doute \o/
Si vous pensez à d'autres aspects que j'aurais pu développer, ça se passe dans les commentaires. Je sais que je n'ai pas parlé de tout pleins de choses (les transports, les musées, les conditions de travail...), alors n'hésitez pas. Si demande il y a, satisfaction je donnerai :)
Tourisme et découverte = ↑
C'est simple, je n'ai jamais autant voyagé. Il est évident que je ne parle pas des simples trajets Liverpool - France, mais bien de visites dans tout le Royaume-Uni : Belfast en Irlande du Nord, Édimbourg en Écosse (où j'étais déjà allée auparavant), Conwy au Pays de Galles, et Oxford, Manchester, Birmingham, Windermere et Londres en Angleterre !
Chaque visite était unique et très différente de la précédente : à Belfast et Oxford par exemple, je rendais visite à des amies de l'université. Les visites étaient donc plus complètes et peut-être moins aventurières que les autres. De même, si Windermere représente bien la campagne britannique, Londres ou Birmingham sont tout l'inverse. Ainsi, le paysage de cette année a été pour moi très varié, plein de bonnes découvertes. Tout s'est toujours très bien passé, et je dois dire que j'ai adoré jouer le rôle de touriste, munie de mon super appareil- photo (la quasi-intégralité des photos que vous pourrez voir sur ce blog ont été prises avec un "Nikon Coolpix P300").
Le prix des trains sont abordables si on s'y prend à l'avance, et vous pouvez même vous rendre (comme moi) à Londres en bus. C'est long, très long (presque 6h de Liverpool, aller simple !), mais c'est aussi très bon marché. J'ai même entendu parler d'un trajet à £1 sur megabus.com, bien que je n'y ai jamais eu recours.
Voici les compagnies que j'ai très souvent utilisées :
The Train Line
National Rail
National Express (pour le bus)
Dernière chose, et non la moindre, Liverpool en elle-même ! Si je n'ai pas eu un coup de foudre énorme pour la ville les premiers jours, l'attachement est venu petit à petit pour cette jolie petite ville où l'on ne s'ennuie jamais : les gens sortent tous les soirs, mais noircissent surtout les pubs, restos et boîtes de nuit les vendredis et samedis soirs. J'ai adoré les cathédrales et églises, dont vous entendrez parler sur ce blog, les docks, qui sont un vrai régal lorsqu'il ne pleut pas, voire si vous avez de la chance, s'il fait beau ; les boutiques sont pour moi plus intéressantes qu'en France - je pense avant tout à New Look et Next. Sortir boire un café ou un chocolat chaud à Nero en compagnie de ses amies ou seule était un plaisir que je m'octroyais le plus possible - je mangeais d'ailleurs là bas tous les mardis midis et commandais mon traditionnel panini toasté et "single espresso" :P, et les restaurants ne m'ont presque jamais déçue. J'habitais d'ailleurs près d'une célèbre rue, Lark Lane, presque entièrement composée de restaurants en tout genres. Bien sûr, la plupart n'étaient pas des restaurants anglais mais davantage indiens, japonais ou espagnols ! Le mauvais temps était bien sûr un inconvénient qu'il ne faut pas prendre à la légère puisqu'il encourageait tout le monde à se terrer chez lui - ce que les Liverpudliens ne font pas, sans quoi ils ne sortiraient jamais !
Bref, une ville où il fait bon vivre et travailler, sans aucun doute \o/
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Si vous pensez à d'autres aspects que j'aurais pu développer, ça se passe dans les commentaires. Je sais que je n'ai pas parlé de tout pleins de choses (les transports, les musées, les conditions de travail...), alors n'hésitez pas. Si demande il y a, satisfaction je donnerai :)